Tiens, il n'y a pas si longtemps je partageais avec vous une scène particulière tirée des archives familiales et dans laquelle on voyait l'inauguration du commerce de Bernard Chénier, Fantaisie Cut-Rate, au coin des rues Aylwin et Hochelaga en 1950 avec le curé de la paroisse.
A l'aide d'une autre photo venant des archives familiales je vous invite cette fois-ci à voir de quoi le commerce avait l'air mais cette fois en regardant vers l'intérieur, comme si vous étiez en train d'entrer. La photo a subi quelques dommages avec le temps, comme c'est souvent le cas avec les vieilles photos. Rien qui n'a pu être corrigé toutefois avec un tout petit peu de magie numérique.
Cette photo remonte au début des années 60 et on y aperçoit monsieur Bernand Chénier, son épouse Pierrette Séguin ainsi que la sœur de cette dernière, Annette Séguin, que tous surnommaient affectueusement Nénette. La personne à droite complètement n'a pu être identifiée mais il s'agit vraisemblablement d'une employée.
Avouez que la quantité d'objets a de quoi étonner! On pouvait y trouver des articles de décoration, de la vaisselle, des cadeaux, des montres, petits bijoux, jouets, revues, journaux, du pain et combien d'autres. Il me serait tout à fait impossible de tout énumérer tellement il y en a. Pour les gens du quartier qui n'avaient pas envie d'aller se perdre dans le centre-ville pour faire des achats de toutes sortes, le magasin de monsieur Chénier était certainement la première option et dans cette véritable caverne d'Ali Baba il y avait sûrement ce dont les gens avaient besoin.
Au début des années 70 ce commerce avait changé de main et de nom, mais était pas mal demeuré le même. C'est là que j'allais acheter des bonbons, une tablette de chocolat ou encore mon Pif Gadget. Aujourd'hui, au moment d'écrire ces lignes l'emplacement abrite un dépanneur et l'apparence extérieure n'a que très peu changé.
Le saviez-vous? Bien qu'il ne soit pas relativement récent, le concept du dépanneur tel qu'on le connaît aujourd'hui s'est implanté qu Québec vers 1970. Les dépanneurs étaient peu nombreux à l'époque car les épiceries de quartier étaient encore en vogue, mais la possibilité d'acheter des produits en dehors des heures d'ouverture leur a fait gagner en popularité.
A l'aide d'une autre photo venant des archives familiales je vous invite cette fois-ci à voir de quoi le commerce avait l'air mais cette fois en regardant vers l'intérieur, comme si vous étiez en train d'entrer. La photo a subi quelques dommages avec le temps, comme c'est souvent le cas avec les vieilles photos. Rien qui n'a pu être corrigé toutefois avec un tout petit peu de magie numérique.
Cette photo remonte au début des années 60 et on y aperçoit monsieur Bernand Chénier, son épouse Pierrette Séguin ainsi que la sœur de cette dernière, Annette Séguin, que tous surnommaient affectueusement Nénette. La personne à droite complètement n'a pu être identifiée mais il s'agit vraisemblablement d'une employée.
Avouez que la quantité d'objets a de quoi étonner! On pouvait y trouver des articles de décoration, de la vaisselle, des cadeaux, des montres, petits bijoux, jouets, revues, journaux, du pain et combien d'autres. Il me serait tout à fait impossible de tout énumérer tellement il y en a. Pour les gens du quartier qui n'avaient pas envie d'aller se perdre dans le centre-ville pour faire des achats de toutes sortes, le magasin de monsieur Chénier était certainement la première option et dans cette véritable caverne d'Ali Baba il y avait sûrement ce dont les gens avaient besoin.
Au début des années 70 ce commerce avait changé de main et de nom, mais était pas mal demeuré le même. C'est là que j'allais acheter des bonbons, une tablette de chocolat ou encore mon Pif Gadget. Aujourd'hui, au moment d'écrire ces lignes l'emplacement abrite un dépanneur et l'apparence extérieure n'a que très peu changé.
Le saviez-vous? Bien qu'il ne soit pas relativement récent, le concept du dépanneur tel qu'on le connaît aujourd'hui s'est implanté qu Québec vers 1970. Les dépanneurs étaient peu nombreux à l'époque car les épiceries de quartier étaient encore en vogue, mais la possibilité d'acheter des produits en dehors des heures d'ouverture leur a fait gagner en popularité.