Les
jours sont bien remplis par les temps qui courent. Je dévale,
parcours, sillonne et arpente rues et boulevards, avenues et ruelles,
appareil à la main. Le déclencheur n’a que bien peu de répit.
Une photo par ci et une autre par là. De belles découvertes aussi
ou non seulement je bats la semelle là où je ne suis encore jamais
allé mais où j’en profite également pour apprivoiser Galarneau,
ce qui risque d’en étonner plusieurs, assurément. La photo
d’aujourd’hui en est un exemple probant.
Et
pendant que je farfouille à touts vents il y a ces amis rongeurs
arboricoles qui viennent meubler un peu l’espace ici à leur façon
bien personnelle. Il faudra leur pardonner écarts de vocabulaire,
proses un tantinet plébéiennes et autres grimaces linguistiques qui
leurs sont propres mais ce sont justement ces traits particuliers,
ainsi que leurs personnalités respectives, qui leur donne ce relief
qui leur est si unique. Un des leurs, Gustave, a d’ailleurs prit
l’habitude de m’accompagner, juché sur mon épaule et calepin à
la main [patte], observant tout autour. Curieux, il pose des
questions en paquets de douze sur les lieux, les bâtiments leur
histoire et scribouille minutieusement toutes les réponses que je
lui donne.
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