jeudi 15 décembre 2016

Les jouets de Noël 1974 chez Simpsons (2e partie)

Et voilà, tel que promis dans la chronique précédente, voici la seconde partie de la section des jouets de Noël du catalogue Simpsons 1974. Alors sans plus tarder, continuons là où nous avons laissé la dernière fois. 


Ici nous sommes sur la page des enfants curieux, jaseux et créatifs. L'article A, en haut à gauche, est un Magnajector dont le principe est très simple. À l'intérieur se trouve une ampoule ordinaire ainsi qu'un miroir placé à 45 degrés. Toute image sur laquelle on dépose le Magnajector peut être projetée, généralement sur un mur.  Sur l'objectif se trouve une bague de réglage permettant d'obtenir un focus clair. L'article B permet à tout photographe en herbe de découvrir un très beau passe-temps. Par contre, faut y aller mollo sur le déclencheur car nous sommes encore loin des appareils numériques. Les rouleaux de film (ici le format 126) ne sont pas trop dispendieux mais il faut prendre le coût de développement. Heureusement, certaines chaînes offraient souvent un rouleau neuf identique lorsque l'on faisait développer un film. Les articles C à E (dont les lettres sont difficilement discernables sur l'image) offrent tout ce qu'il faut à celui qui s'intéresse à la chimie. Heureusement ce ne sont pas des kits comme ceux de Gaston Lagaffe. Grand nombre d'enfants ont eu, je crois, un microscope semblable à l'article F. Celui-ci permet de grossir jusqu'à 300 fois et une lumière en dessous assure de bien voir les spécimens sur les plaques de verre. Des spécimens supplémentaires sont offerts à l'article G, tout juste à côté. De mémoire, je me souviens qu'on y trouvait toutes sortes de choses; du pollen, des petits insectes, poils d'animaux... Pour le petit bricoleur on ne pourrait trouver mieux que l'article H, un magnifique coffret rempli d'outils véritables mais en petit format. Chose intéressante, la plupart de ces kits d'outils étaient fabriqués en Pologne. L'article J comporte deux walkies-talkies à transistors. La mention «Solid State», que l'on pouvait noter sur bon nombre d'appareils, tire son nom du chemin que les signaux électriques empruntent au travers des pièces solides de matériaux semi-conducteurs. relativement bon marché, ces walkies-talkies possédaient une portée qui variait grandement selon les obstacles et interférences diverses. Les plus vieux vont certainement se rappeler le gribouillage que provoquait un appareil de cuisine (couteau électrique, malaxeur) sur la réception d'un téléviseur. C'était encore pire durant nos émissions favorites. L'ensemble K, un ensemble de pyrogravure, a été également très populaire durant les années 60 et 70. Ces kits venaient avec un lot de plaques de bois avec des motifs déjà imprimés dessus. Un burin électrique permettait de noircir les motifs en appuyant le burin sur le bois, lequel noircissait sous l'effet de la chaleur. bien qu'approuvé par l'ACNOR, il était préférable pour les enfants de s'adonner à ce hobby sous la surveillance d'un adulte. L'article L comprend deux téléphones assez similaires au fameux modèle 500 de Bell. Les deux appareils sont reliés avec un fil de 30 pieds et fonctionnaient avec des piles. Avec un peu de bricole on pouvait facilement rallonger la distance entre les deux téléphones. Le dernier article sur cette page, en bas à droite (article N) est une magnifique machine à écrire fabriquée par Mettoy, bien connue pour ses petites voitures en métal moulé Corgi. Des heures et des heures de plaisir pour tous ceux et celles qui avaient une passion pour écrire. N'oubliez pas les rubans de rechange! 


Voici la page des jeux d'adresse et de concentration. Voyons voir un peu. L'article A est facilement reconnaissable puisqu'il s'agit d'une table de billard petit format. L'article B, fabriqué par la compagnie de jeux Milton Bradley, rappelle le jeu de bataille navale Battleship mais ici nous avons affaire à un jeu de chasse aux sous-marins à paliers multiples. C'est donc un peu plus complexe mais pas moins amusant pour autant. L'article C a été aussi très populaire puisqu'il s'agit du fameux Rebound de la compagnie Ideal. Le jeu fait penser quelque peu au curling et ici, le rebond des billes sur deux élastiques nécessitait une bonne dose de précision pour atteindre le plus haut pointage. Beat The Clock (article D) comportait des petites épreuves amusantes à compléter à l'intérieur d'une période de temps allouée. L'article E, Bumper Shot, est en quelque sorte une variante de Rebound également fabriquée par Ideal mais un peu plus complexe. Le plateau comprenait sept bandes élastiques au lieu de deux et l'objectif était de faire entrer les billes dans les trous dont les pointages étaient les plus élevés. L'article F, Games Board, comprenait un plateau de jeu assez bigarré permettant de jouer à plus de 199 jeux différents. La compagnie Aurora ne faisait pas que fabriquer des monstres à coller qui brillaient dans le noir et des pistes de course, comme on peut le voir à l'article G. Il s'agit d'un jeu de football comprenant plus de 800 possibilités de jeux pré-organisés par ordinateur. Les article H et J sont deux jeux de Scrabble, à la différence que le J est la version pour jeunes. Peut-être moins connu, le jeu Stock Sticker de la compagnie Copp-Clark Publishing permettait de s'initier au concept de la bourse en jouant avec six «valeurs» qui comprenaient l'or, l'argent, le grain, les obligations, le pétrole et l'industrie. Le jeu à l'article L est mieux connu et fabriqué par une compagnie qui n'a pas besoin d'introduction quant aux jeux de société puisqu'il s'agit de Parker Brothers. Le concept de Masterpiece reposait sur l'achat et les transactions des oeuvres des grands maîtres. Mais attention, une fortune dépensée pour une toile pouvait s'envoler en fumée s'il s'agissait d'un faux. Et enfin, les articles N et O que sont les classiques jeux de hockey sur table. Le jeu Bobby Orr, célèbre joueur des Bruins de Boston, était fabriqué par la compagnie Munro tout comme le jeu Professional Hockey tout juste à côté. 


D'autres jeux amusants nous attendent ici, dont certains sont encore fabriqués de nos jours. Don't Blow your Top, conçu par le légendaire Marvin Glass, est en vedette à l'article A. Un personnage à la tronche amusante est munie d'un ballon que l'on gonfle. Directement sous le ballon se trouve des bandes de papier sablé et chaque joueur place dans le chapeau un certain nombre de bille qu'il possède. Le poids des billes fait éventuellement frotter le ballon un peu trop sur les bandes, ce qui le fait exploser. Le gagnant est le joueur ayant le moins de billes en sa possession. L'article B est le fameux jeu Battleship mais ici Milton Bradley a opté de changer l'ancienne image sexiste de la première version où un père et son fils s'amusaient comme larrons en foire pendant que la maman et fille faisaient la vaisselle. L'article C est un autre jeu Parker Brothers, Pay Day (Jour de Paye en français) où l'on gère un salaire tout en faisant face à diverses obligations financières. Fabriqué par Ideal, Battleboard (article D) était un jeu à saveur médiévale où deux joueurs opposés devaient faire avancer leurs attaquand vers un mur situé au milieu mais chaque joueur possède une pompe à air connectée au tableau de jeu et qui peut faire s'envoler les attaquants adverses. Celui qui parvient à faire avancer deux chevaliers au mur gagne la partie. The Game of Life, à l'article E (Milton Bradley) fait avancer les joueurs au travers différents événements de la vie; emploi, mariage et enfants. Le tout agrémenté de surprises, bonnes et mauvaises. Le jeu F rappelle les fameux «shuffleboards» qui se trouvaient dans plusieurs écoles de l'époque mais ici en forme très simplifiée. On pouvait s'amuser à trois jeux différents. L'article G est un mini jeu de quilles mesurant 8 pieds de long par 32 pouces de large. Pas très facile d'y jouer si l'on avait du tapis épais, ce que plusieurs maisons possédaient dans les années 70. Impact, à l'article H, était un jeu conçu et fabriqué par Ideal utilisant la gravité et qui consistait à frapper une bille à l'aide d'un pendule. L'article J est le jeu Billionaire par Parker Brothers. Il s'agissait d'un jeu basé sur les transactions d'affaires dans des entreprises variées dans différentes parties du monde. ce jeu était une coche plus compliquée que l'article suivant (K), le fameux et légendaire Monopoly, lequel à détruit plus d'une amitié et fait se fracasser plusieurs tables de cuisine. Ah là là. Un autre grand classique, toujours fabriqué et vendu et fabriqué aujourd'hui sous différentes variations allant des Simpsons à Star Wars, est Opération où le but est de prélever différentes petites pièces de plastique à l'aide de pinces sans toucher aux rebords métalliques. si on y touche, le nez du patient s'allume. Dans la première version du jeu, le chirurgien situé au dessus du patient fumait une cigarette, laquelle a été enlevée dans les versions subséquentes. L'article N, Ratrace, ne cache pas son nom. «Rat race» est une vieille expression en anglais qui désigne les travailleurs qui, matin après matin, s'en vont au travail, toujours de façon répétitive, un peu comme les rats de laboratoire dans les labyrinthes et dont la course à l'avancement social ne laisse que très peu de temps pour les loisirs. Ce jeu offre à chaque joueur de démarrer avec $200 et de s'en tirer le mieux possible. Yahtzee est ce fameux jeu de dés, de chance et d'habileté. Créé en 1956 par la compagnie E.S. Lowe le jeu a été vendu à plus de 40 millions d'exemplaires jusqu'en 1973, année où Milton Bradley a racheté E.S. Lowe tout en continuant de commercialiser Yahtzee. Le dernier article sur cette page (P) se nomme Ulcers (joli nom). Fabriqué par Waddington's, l'objectif du jeu était d'assembler du personnel pour faire rouler une compagnie (deux secrétaires, deux vendeurs, un gérant des ventes, un vice-président et un président). Il fallait habilement doser les salaires; trop faibles et les employés quittaient, trop forts et la compagnie faisait faillite. Chose intéressante les premières version, caractéristiques de la mentalité de l'époque, les postes de secrétaires étaient tous féminins alors que tous les autres étaient masculins, un détail qui a été corrigé dans les versions subséquentes. 


Cette page comporte tout ce qu'il faut pour plaire aux amateurs de jeux d'adresse. On y retrouve une variété intéressante de jeux de machines à boules (articles C, F et H), jeu de tir à la cible (article D), billard (article E), tennis (article G) et un étrange jeu de poker fabriqué par Aurora (article J). Aussi d'Aurora est le jeu de hockey sur coussin d'air (article A). L'exception ici est évidemment l'article B, les fameux Rockem' Sokem' Robots où deux robots pugilistes se tapochent sur leurs tronches métalliques. Ce jeu, dont Mattel est détenteur aujourd'hui des droits, continue de le commercialiser mais en version plus petite que celle de Marx. 


Il y a les jeux d'adresse et d'habileté mais il ne faut pas oublier les jouets de construction. En haut de la page on retrouve le fameux Meccano, lequel était vendu sous différentes versions permettant de construire à peu près tout ce qui nous passait par la tête. La particularité de Meccano était le fait qu'il était entièrement en métal avec tout un jeu de vis et écrous ainsi que les outils nécessaires. Peut-être moins connu est le jeu Sonos (articles E, F, et G) où l'on assemblait des pièces de plastiques au moyen de joints. Les ensembles permettaient d'assembler différents véhicules. Les articles J et K ne sont autres que Multi-Fit. Ce jeu de construction utilisait des pièces de plastique munies de «dents» souples et flexibles qui permettaient de les connecter ensemble et de les défaire avec autant de facilité. Les articles L, N, O et P ont-ils vraiment besoin de présentation? Il s'agit bien entendu des légendaires blocs LEGO, lesquels font encore fureur aujourd'hui. Les ensembles permettaient aux enfants de reproduire ce qu'il y avait sur les boîtes ou à peu près tout ce qui leur passait par la tête. Personnellement, tous mes LEGO, peu importe du kit d'où ils provenaient finissaient tous mélangés dans une grosse boîte. Aux article R et S on retrouve Tinkertoy, un jeu d'assemblage fait presque exclusivement en bois avec des tiges de différentes longueurs ainsi que des roues munies de trous permettant d'insérer les tiges en question et de construire ce que bon nous semblait. Et finalement, à l'article T, les blocs Sta Lox conçus spécialement pour le enfants de maternelle avec de gros blocs en plastique léger et souple aux couleurs variées. 


Toujours dans le domaine créatif on touche ici au côté résolument artistique. Au haut de la page, on intéressait surtout les jeunes filles avec des ensembles d'artisanat divers allant du macramé au tricot au travail du cuir. Plus bas, l'article J, Chip Away, comporte trois blocs composés de matière poreuse et facilement cassable à l'intérieur desquels se trouvent des personnages des Pierrafeu. L'ensemble comprend aussi des pots de peinture. Dans la même veine, l'article K, Shaker Maker, comprend des moules en plastique où l'on verse du plâtre liquide. Une fois sec on retire les deux morceaux du moule et on peut peindre le personnage comme on le voit dans la photo sous l'article. Notez la description erronée où l'on définit le Shaker Maker en Milk Shake. Oups! L'article L est tout simplement un ensemble pour fabriquer des fausses fleurs avec des feuilles en peluche acrylique. Quand à l'article N il a été assez populaire chez les jeunes filles qui aimaient bien personnaliser leur pantalons ou jupes jeans avec des motifs et couleurs variés. Le dernier article, P, est un kit de cones à colorier. Je crois que les enfants préféraient davantage les bons vieux crayons de bois. 



On continue avec une autre page consacrée à l'artisanat sous formes variées. Possiblement inspiré des œufs Fabergé, l'article A permet de décorer des œufs en plastique de différentes façons et styles. L'article B est un petit ensemble de poterie qui comprend des petits outils permettant de mieux définir les formes ainsi que de la peinture. L'article C est un petit kit pour fabriquer ses propres bougies, un hobby qui a connu une certaine popularité durant les années 70. L'article D est la même chose mais avec davantage d'accessoires. L'article E est une lapidaire électrique, le fameux «rock tumbler» qui permettait de polir des cailloux que l'on ramassait. Cadeau parfait pour celui ou celle qui se prépare à devenir géologue. À l'article F on revient avec la poterie mais cette fois avec un plateau tournant motorisé. L'article G est assez semblable au Shaker Maker de la page précédente. Cinq moules pour plâtre permettent de créer des figurines et de pouvoir les peinturer. L'article H est une petite machine permettant de couper le verre et de fabriquer des verres à boire à partir de vieilles bouteilles de vin. Le kit comprenait tout ce qui fallait incluant le matériel pour assouplir les rebords coupés afin de ne pas se ramasser à l'urgence avec les lèvres comme le docteur Zoidberg. L'article J est un mini frolic pour découper du bois léger en différentes formes pour ensuite les agrémenter de décorations diverses comme des images ou de petits arrangements de fleurs séchées, au goût. L'article K vient surtout intéresser ceux qui n'ont pas vraiment d'intérêt pour la poterie ou l'artisanat mais bien l'électronique. Ce kit Eldon comprend tout ce qu'il faut pour assembler une radio AM. C'est comme un modèle à coller mais avec des pièces électroniques. Si l'on a bien suivi les instructions d'assemblage la radio fonctionnera. Le manuel était assez complet et expliquait clairement qu'est ce qui faisait quoi dans la boîte. 



Ah, voici la page, à peu de choses près) des amateurs de sensations fortes. On débute avec l'article A mettant en vedette le motocycliste casse-cou Evel Knievel (notez une autre coquille dans la description de l'article où notre cascadeur est nommé Evil Knievel. Oups encore!). Par contre il ne fallait pas se laisser berner par l'image; le camion et Evel avec sa moto étaient vendus séparément. C'était un détail que nombre de parents n'ont pas remarqué et ont offert à leurs enfants un beau camion mais qui ne comprenait pas Evel ni sa moto. L'article C est un hélicoptère motorisé qui se promenait aléatoirement au sol et qui changeait de direction s'il rencontrait un obstacle. L'article D est une petite locomotive fonctionnant à pile et qui suit un trajet linéaire. Une fois le bout de la piste atteint, la locomotive recule à son point de départ et recommence. Notez que l'on est pas mal moins dans les jouets pour enfants amateurs de sensations fortes ici, surtout avec les articles E et F qui sont des petits toutous reliés à une commande et qui peuvent s'asseoir, remuer la queue et japper. On remonte la pente avec l'article F, le fameux Vertibird qui a connu quelques variantes au fil des ans. Il s'agissait d'un hélicoptère dont l'hélice fonctionnait vraiment et relié par une tige au bloc de commande. On pouvait donc contrôler l'hélicoptère et exécuter toutes sortes de manoeuvres différentes. Les voitures à l'article G sont de la compagnie Kenner et venaient en différents modèles. Ces petites voitures rapides allaient dans tous les sens. Toujours par Kenner, nous voici avec un jeu légendaire, le fameux Smash up Derby SSP. Deux voitures que l'on remontait avec une longue bande de plastique qui actionnait une roue en caoutchouc située en dessous. Sous le momentum on envoyait ensuite la voiture foncer directement sur une autre après avoir sauté un tremplin. Le choc faisait s'envoler les pièces; capot, portières coffre arrière et les roues. Ce voitures étaient toutefois fabriquées d'un plastique épais et carrément incassable. Comme on peu le voir aux articles K et L, il se trouvait un grand choix de voitures différentes à se faire fracasser les unes contre les autres. D'ailleurs je m'en voudrait de ne pas inclure ici la fameuse pub de ce jouet qui a été extraordinairement populaire et aujourd'hui très prisé des collectionneurs. 




Sur cette page on retrouve, à l'article A, les fameuses pistes de course Aurora et ses voitures AFX. Les voitures étaient munies de petits moteurs alimentées par électricité et une commande permettait de contrôler la vitesse. Les pistes comme celle-là étaient modulaires et on pouvait changer le trajet. L'article B est aussi une piste de course mais moins longue et utilisant ici le fameux circuit en «8». Les articles C et D font partie de ces jouets qui ont disparu des tablettes. On retrouve ici deux ensembles de trains électrique, l'un du Canadien Pacifique (article C) avec une locomotive qui me semble être un Alco RSD-5 et l'autre (article D) est un EMD F7 du Santa Fe (aujourd'hui le BNSF). Ces trains étaient bien entendu à l'échelle HO. À l'article E on s'appuie sur le même concept que le Vertibird sauf qu'il s'agit ici de Snoopy sur sa niche volante et on peut apercevoir à l'arrière le fameux Baron Rouge. L'article F est essentiellement une sorte de simulateur d'extraction minière simplifié et l'on décide de la route à prendre pour assurer le bon déroulement des opérations. 

Et voilà que se termine la section des jouets de ce catalogue spécial de Noël Simpsons de 1974. Dans le prochain article je vous invite à venir explorer avec moi ce qu'un autre grand magasin de l'époque, soit Eaton, avait à offrir à la même époque et au même moment. 




Le saviez-vous? Aujourd'hui c'est la compagnie Hasbro qui détient les droits du jeu Yahtzee et et sa popularité ne semble pas cesser puisque la compagnie écoule jusqu'à 50 millions de copies par an encore aujourd'hui.

2 commentaires:

  1. Les walkie talkie jouets avaient une puisssance limitée à 100 mw et généralement un seul canal , soit le #11 du CB , 27.085 mhz .J'en ai démancher plusieurs ( demolition state ...solid no more ) pour voir la fréquence sur le cristal de canal .

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    1. Je me rappelle avoir lu quelque chose de semblable sur le sujet. La portée n'était pas très grande et encore fallait-il qu'il n'y ait pas trop d'obstacles ni d'interférence.

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